(Rencontres d’échanges jusqu’au 4 décembre à Cotonou, Porto-Novo et Parakou)
Le béninois Khaled Igué entame une tournée de promotion des idées contenues dans son ouvrage ‘’L’heure de l’Afrique’’ au Bénin dès le lundi 29 novembre 2021. Le banquier d’affaires, associé en charge de l’Afrique chez B&A Investment Bankers l’a annoncé par le biais d’une vidéo postée sur sa page LinkedIn. « J’aurai l’immense plaisir de vous retrouver dans les villes de Cotonou, Parakou et Porto-Novo du 29 novembre au 4 décembre 2021 pour échanger avec vous sur les solutions et propositions que je porte dans mon livre ‘’L’heure de l’Afrique’’ pour mener notre continent sur la voie d’un développement durable inclusif », a-t-il affirmé.
‘’L’heure de l’Afrique’’ est paru en janvier 2020 aux éditions Hermann dans les pays africains francophones, en France et en Europe. En Avril 2021 sous le titre ‘’Time for Africa’’ aux Etats-Unis, en Angleterre et dans les pays africains de langue anglaise. Dans cet ouvrage, le cadre émérite béninois donne des pistes de solutions adéquates pour mener le continent africain au développement durable inclusif. Le long de cette campagne qui sera composée rencontres avec plusieurs couches socioprofessionnelles de la société béninoise, le banquier d’affaires béninois compte échanger avec les béninois afin de partager ses connaissances et s’enrichir de leurs réalités. Ce qui est nécessaire à ce jeune béninois pour poursuivre ses travaux dans les propositions de solutions pour le bonheur de toutes les populations d’Afrique. Mais pour ce faire, il est indispensable de lire le livre ‘’L’heure de l’Afrique’’ afin de connaître les solutions proposées par l’auteur afin de faire part, pendant les échanges, des réflexions que cette lecture auraient provoquées. C’est ce que Khald Igué semble expliquer en disant : « Si vous désirez vous aussi participer par vos idées au développement durable inclusif de notre continent, je vous invite à lire mon livre ‘’L’heure de l’Afrique’’ et je serai très honoré de débattre avec vous dans ce cadre ».
Daphnée OUNSOUGAN